La vie de Babel n’a été que préparation à sa fin.
Comme toutes, elle fut marquée de multitudes d’émotions et d’expériences.
Chacune d'elles destinée à disparaître au terme de celle-ci.
Ce qu’elle eut de plus heureux fut sans doute qu’il lui a été possible de la vivre en oubliant qu’elle ait un terme.
Ce qu’elle eut de plus malheureux fut sans doute qu'oubliée ou non, cette réalité demeurait inéluctable.